La structure sociologique de la population du Limpertsberg change peu à peu avec l'immigration portugaise, le centre de réfugiés Don Bosco ainsi que l'arrivée de nombreux employés étrangers du secteur bancaire, et de fonctionnaires des institutions européennes.
En même temps, et comme partout ailleurs, les petits commerces de proximité disparaissent du coeur du quartier, tout comme le tram et ses ateliers de remisage et de maintenance.
Le "Veräinshaus" paroissial devient le lieu de rassemblement et d'intégration d'une grande partie de la jeunesse du quartier, tandis que derrière les murs du "Kannerland", des enfants moins privilégiés subissent une éducation autrement plus traumatisante.
La structure sociologique de la population du Limpertsberg change peu à peu avec l'immigration portugaise, le centre de réfugiés Don Bosco ainsi que l'arrivée de nombreux employés étrangers du secteur bancaire, et de fonctionnaires des institutions européennes.
En même temps, et comme partout ailleurs, les petits commerces de proximité disparaissent du coeur du quartier, tout comme le tram et ses ateliers de remisage et de maintenance.
Le "Veräinshaus" paroissial devient le lieu de rassemblement et d'intégration d'une grande partie de la jeunesse du quartier, tandis que derrière les murs du "Kannerland", des enfants moins privilégiés subissent une éducation autrement plus traumatisante.